Deux mois déjà que nous savons...
À part qu'il ne marche pas, Xavier est un enfant comme les autres. Sa diplégie spastique ne fait pas de lui un enfant marginal, du moins pas pour le moment. Partout où il va, on le remarque pour ses billes bleues pétillantes, sa bonne humeur, sa façon d'être lui. D'ailleurs, je dois avouer qu'en lisant quelques témoignages trouvés sur Internet à propos d'enfants avec le syndrome de Little aussi appelé diplégie spastique, je m'aperçois que Xavier n'en est vraiment pas sévèrement atteint.
Aura-t-il un jour des injections de toxine botulique dans les mollets pour lutter contre la spasticité ? Je ne sais pas. Est-ce que la physiothérapie lui suffira ou aura-t-il besoin d'une rééducation cérébro-motrice plus adaptée à sa situation ? Je ne sais pas itou. Aura-t-il prochainement une médication antispasmodique ? Je ne sais toujours pas. Devra-t-il subir une intervention chirurgicale ou même plusieurs ? Je ne sais pas pantoute, mais j'ai l'impression que ça ne sera probablement pas nécessaire.
Bref, comme vous avez pu le constater dans le précédent paragraphe, on nage vraiment dans l'inconnu en ce qui concerne la diplégie spastique de notre fiston. Cependant, on sait une chose, c'est qu'Izabela, neurochirurgienne en pédiatrie et connaissance de longue date, a raison quand elle nous dit qu'avant tout autre chose il faut d'abord laisser la chance à Xavier de s'améliorer lui-même avec les traitements de physiothérapie prodigués présentement pour voir le potentiel de récupération et d'amélioration possibles.
Aura-t-il un jour des injections de toxine botulique dans les mollets pour lutter contre la spasticité ? Je ne sais pas. Est-ce que la physiothérapie lui suffira ou aura-t-il besoin d'une rééducation cérébro-motrice plus adaptée à sa situation ? Je ne sais pas itou. Aura-t-il prochainement une médication antispasmodique ? Je ne sais toujours pas. Devra-t-il subir une intervention chirurgicale ou même plusieurs ? Je ne sais pas pantoute, mais j'ai l'impression que ça ne sera probablement pas nécessaire.
Bref, comme vous avez pu le constater dans le précédent paragraphe, on nage vraiment dans l'inconnu en ce qui concerne la diplégie spastique de notre fiston. Cependant, on sait une chose, c'est qu'Izabela, neurochirurgienne en pédiatrie et connaissance de longue date, a raison quand elle nous dit qu'avant tout autre chose il faut d'abord laisser la chance à Xavier de s'améliorer lui-même avec les traitements de physiothérapie prodigués présentement pour voir le potentiel de récupération et d'amélioration possibles.
Un grand bonsoir au petit monstre (effets de l'anesthésie?) et à sa maman
RépondreSupprimerDu même avis qu'Izabela qui connaît son sujet !
Quand tu avais listé, début février, tout ce dont Xavier était capable à 16 mois, ça correspondait aux attendus pour un enfant d'environ 6 mois de plus, à part la marche bien sûr; ça incite à miser sur tout le profit que ton petit monstre du jour pourra tirer de ses séances de physio.
Douce soirée
Katerine
Katerine,
RépondreSupprimerSecrètement, avais espéré que l'anesthésie générale de mercredi l'aurait un peu assomé pour le reste de la semaine. Mais non. Ça a été pire que jamais : depuis le jour de sa chirurgie, il s'est couché vers 23 heures et s'est réveillé à 6h. Il est débordant d'énergie et pas nécessairement brillant dans ses exploits !!! LOL
Comme là, il a ouvert sa poubelle perso et on sait tout que ce qu'il y a là-dedans est répugnant... LOL